“Ce chiffre est issu des réponses à un questionnaire envoyé par Jérôme Bueche à plus de 1200 représentants des autorités législatives et exécutives aux niveaux communal, cantonal et fédéral. Le taux de réponse a été de 20%, soit environ 240 retours.
L’étude conclut que la complexité des dossiers informatique “reste un obstacle pour beaucoup de politiciens de milice” car “il est difficile pour eux d’investir beaucoup de temps dans l’étude de dossiers techniques”.
Et même au plus haut niveau de l’Etat, on assume volontiers des lacunes. Près de la moitié des politiciens ont ainsi affirmé ne pas connaître l’existence d’une stratégie informatique, et seul un quart a assuré l’avoir lue ou étudiée.”
Source : RTS