KYC Spider mischt mit Digital KYC den Compliance Markt auf

„Einfach, intelligent und sicher“ lautet das Credo des Zuger Unternehmens KYC Spider. Mit der gezielten Automatisierung bestimmter KYC-Prozesse ist es nun möglich, wertvolle Zeit zu sparen und Ressourcen besser einzusetzen. Die neuartige KYC 4.0 Plattform bietet eine umfassende Lösung von einfachen PEP und Sanktions- Checks, detaillierten EDD Reports bis hin zur Video-Identifikation, und verfolgt ein klares Ziel: Compliance-Verantwortliche sollen ihre KYC- und Compliance-Prozesse möglichst einfach halten können.

KYC-Prozesse sind in der heutigen Zeit für das reibungslose Funktionieren einer globalisierten Wirtschaft von grösster Bedeutung. Auf Unternehmensseite sind hierfür aber immer mehr Ressourcen nötig. Und genau hier setzt das Zuger Unternehmen an. Aus diesem Ur-Gedanken ist das Credo “Reshape Compliance mit Digital KYC” entstanden.

Pionier im Bereich RegTech

KYC Spider ist ein führender Anbieter im Bereich Regulatory Technology, besser bekannt als “RegTech”. Miki Vayloyan, CEO von KYC Spider, erklärt. «Wir bieten nun eine umfassende Lösung an, die zur Verbesserung der Regulierungsprozesse, allen voran in der Finanzdienstleistungsbranche, beiträgt.» Zu den Kunden des Schweizer Unternehmens zählen renommierte Firmen aus der Branche der Finanzintermediäre und Fintechs, wie z.B. Forma Futura oder Bitcoin Suisse, ebenso wie Grossunternehmen aus Industrie- Unternehmen und dem Luxushandel.N

Source : KYC Spider

GENEVA QUARTERLY EVENT: Intelligence Economique dans le secteur bancaire (due diligence, compliance, regtech) : défis et perspectives – 24.01.2019 au GCSP

Intelligence Economique dans le secteur bancaire - Swissintell

Les intermédiaires financiers, dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, sont tenus par la loi d’appliquer des obligations de diligence à l’égard de leurs clients (identification, clarification), ce qu’on appelle aussi la « due diligence ». En Suisse, de nombreux intermédiaires utilisent World-check, Factiva ou Lexis-Nexis. Que dire de la fiabilité de ces sources ? Quels sont les défis pour le secteur bancaire ? Quels solutions et enjeux pour l’écosystème des professionnels de l’information ?

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Programme :

18.00: Bienvenue et inscription

18.30-18.40: Message de bienvenue du GCSP et du president de Swissintell

18.40-19.30 : Interventions
• M. Gagik Sargsyan, Fondateur et CEO Polixis Sàrl
• M. Pierre Besson, Group Senior Advisor Risk and Compliance, Union Bancaire Privée, UBP SA

19.30-19.45: Questions / Réponses

19.45-20.45: Drinks and Networking.

 

Competitive intelligence in the banking sector (due diligence, compliance, regtech): challenges and perspectives

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Financial intermediaries, in the context of the fight against money laundering (AML) and terrorist financing, are required by law to apply due diligence obligations towards their customers (identification, clarification), also known as “due diligence“. In Switzerland, many intermediaries use World-check, Factiva or Lexis-Nexis. What about the reliability of these sources? What are the challenges for the banking sector? What solutions and challenges for the information professionals’ ecosystem ?

Program :

18.00: Welcome and registration

18.30-18.40: Welcome message from the GCSP and the President of Swissintell

18.40-19.30 : Interventions
– Mr. Gagik Sargsyan, Founder and CEO Polixis Sàrl
– Mr. Pierre Besson, Group Senior Advisor Risk and Compliance, Union Bancaire Privée, UBP SA

19.30-19.45: Questions / Answers

19.45-20.45: Drinks and Networking

Les «smart contracts» amorcent une révolution juridique

La blockchain est considérée comme la principale innovation technique de ce siècle avec le potentiel de redéfinir la manière dont les entreprises exerceront leurs activités, y compris dans le domaine juridique. Une des applications prometteuses de la blockchain est l’utilisation des contrats intelligents (smart contracts).

Par exemple, il sera possible, lors de l’achat d’une voiture, de bloquer l’accès à la clé numérique de la voiture si la mensualité du leasing n’est pas versée à temps. Un autre exemple serait le remboursement automatique d’une assurance en cas de retard d’un avion. De manière plus générale, plusieurs start-up sont en train de développer des plateformes de smart contracts qui automatisent la rédaction de contrats à travers des modèles de contrat et de l’intelligence artificielle.

Cela étant, la question se pose de savoir si ces smart contracts peuvent à terme remplacer les contrats juridiques traditionnels, et devenir un contrat juridique intelligent. Les contrats commerciaux comportent de nombreuses clauses qui protègent les parties contre diverses responsabilités. Celles-ci ne sont pas toujours adaptées à l’exécution par un code. Il est souvent fait référence aux clauses non opérationnelles, par exemple une clause de confidentialité. Les contrats juridiques intelligents exigeront donc un mélange entre le codage numérique et le langage juridique traditionnel.

Source : Le Temps