KYC Spider mischt mit Digital KYC den Compliance Markt auf

„Einfach, intelligent und sicher“ lautet das Credo des Zuger Unternehmens KYC Spider. Mit der gezielten Automatisierung bestimmter KYC-Prozesse ist es nun möglich, wertvolle Zeit zu sparen und Ressourcen besser einzusetzen. Die neuartige KYC 4.0 Plattform bietet eine umfassende Lösung von einfachen PEP und Sanktions- Checks, detaillierten EDD Reports bis hin zur Video-Identifikation, und verfolgt ein klares Ziel: Compliance-Verantwortliche sollen ihre KYC- und Compliance-Prozesse möglichst einfach halten können.

KYC-Prozesse sind in der heutigen Zeit für das reibungslose Funktionieren einer globalisierten Wirtschaft von grösster Bedeutung. Auf Unternehmensseite sind hierfür aber immer mehr Ressourcen nötig. Und genau hier setzt das Zuger Unternehmen an. Aus diesem Ur-Gedanken ist das Credo “Reshape Compliance mit Digital KYC” entstanden.

Pionier im Bereich RegTech

KYC Spider ist ein führender Anbieter im Bereich Regulatory Technology, besser bekannt als “RegTech”. Miki Vayloyan, CEO von KYC Spider, erklärt. «Wir bieten nun eine umfassende Lösung an, die zur Verbesserung der Regulierungsprozesse, allen voran in der Finanzdienstleistungsbranche, beiträgt.» Zu den Kunden des Schweizer Unternehmens zählen renommierte Firmen aus der Branche der Finanzintermediäre und Fintechs, wie z.B. Forma Futura oder Bitcoin Suisse, ebenso wie Grossunternehmen aus Industrie- Unternehmen und dem Luxushandel.N

Source : KYC Spider

Legal framework for distributed ledger technology and blockchain in Switzerland

Distributed ledger technology (DLT) and blockchain technologies are among the remarkableand potentially promising developments in digitalisation. It is predicted that these developments have considerable potential for innovation and enhanced efficiency, both in the financial sector and in other sectors of the economy, although this potential cannot yet be conclusively estimated.

Switzerland is currently one of the leading locations in the area of DLT and blockchain. Especially in the financial sector, a growing fintech and blockchain ecosystem has developed in Switzerland in recent years. The Federal Council intends to further improve the prerequisites so that Switzerland can exploitthe opportunities offered by digitalisation. It thus wants to create the best possible framework conditions so that Switzerland can establish itself and evolve as a leading, innovative and sustainable location for fintech and blockchain companies – and innovative companies in general.

Source & rapport : Admin.ch

Le secteur bancaire entre en plein dans la quatrième révolution industrielle

«L’industrie bancaire est déjà structurellement et économiquement en faillite. La seule solution est une automatisation massive. Elle permet de diminuer la base de coûts, de prendre de meilleures décisions de crédit et de cibler de meilleurs clients.» Ces paroles ont été prononcées par l’ancien patron de la banque anglaise Barclays, Antony Jenkins, lors d’une récente conférence sur la disruption numérique des banques. Maintenant à la tête d’une société de technologie financière (fintech), 10x Future Technologies, Antony Jenkins estime que les coûts, et non l’innovation, représentent la bataille décisive pour le secteur bancaire.

Des économies, l’intelligence artificielle pourrait en permettre jusqu’à 100 milliards de dollars pour les dix plus grandes banques du monde, tout en augmentant leurs revenus d’environ 50 milliards, selon Boston Consulting Group (BCG), dont une division fabrique des algorithmes pour ses clients.

Dans les investissements aussi, le big data est de plus en plus utilisé. «Environ 90% des données mondiales ont été produites au cours des deux dernières années, mais seulement 2% sont analysées actuellement afin d’aider la prise de décision, le potentiel est donc immense», observe Pascal Mischler, qui dirige Goldman Sachs Asset Management en Suisse.

Autre exemple, «un algorithme peut repérer dans un article de journal ou dans une recommandation d’analyste un changement de ton, qui devient par exemple plus pessimiste, par rapport à tous les articles écrits précédemment sur un thème ou par la même personne et donner un signal d’achat ou de vente sur un portefeuille», poursuit Pascal Mischler. La gestion quantitative, qui s’appuie sur des algorithmes, représente 40 milliards de dollars d’actifs chez Goldman Sachs, qui gère un total de 1300 milliards de dollars.

Source : Le Temps

Le banquier augmenté

Pour la banque privée, l’intelligence artificielle et l’analyse de données offrent certainement le plus de perspectives. Bien que nous ne soyons pas acteurs, nous suivons également de près les évolutions de technologies comme la blockchain. Notre réflexion repose sur les mêmes principes que par le passé: comment faire en sorte qu’un banquier soit le plus proche possible de son client? La technologie peut faire émerger ce que nous appelons le «banquier augmenté».

La technologie peut apporter un soutien à l’humain, par exemple en identifiant les informations pertinentes parmi la masse de données, qui a explosé ces dernières années. Elle peut aussi lui permettre de naviguer dans un contexte de plus en plus complexe, sous l’effet des nouvelles réglementations ou des règles fiscales en particulier. Elle peut enfin aider à répondre aux attentes des clients des nouvelles générations, qui désirent une expérience personnalisée avec des contenus dynamiques.

Source : Le Temps