La mise en accusation en Allemagne d’un espion suisse relance la question de la surveillance et de son encadrement, alors que la nouvelle loi sur le renseignement entre en vigueur le 1er septembre.
Chargée de la surveillance des organes de sécurité de l’Etat, la délégation des commissions de gestion n’est toujours pas au complet. Depuis bientôt quatre mois, le siège de la libérale-radicale Corina Eichenberger est vide. Elle s’est récusée puis a démissionné, après s’être montrée trop proche du chef du Service de renseignement de la Confédération au moment où l’affaire d’espionnage en Allemagne a éclaté.
Source : RTS Info