“L’objectif est de réduire le risque de passage à l’acte, la mise en place de ces concepts de gestion des menaces n’empêcheront pas qu’une fois ou l’autre un acte puisse arriver, mais je crois qu’il permet de réduire fortement ces risques”, relève André Duvillard, délégué du Réseau national de sécurité, interrogé dans le Journal du matin jeudi.
André Duvillard souligne que les critères pour déterminer les personnes à risques susceptibles d’être intégrées à ce registre est du ressort des cantons. “Il faut être très objectif, des personnes peuvent en quelques sortes rester sous le radar et échapper à ces systèmes de gestion des menaces, mais ça ne doit pas empêcher de les développer.”
Source : RTS Info