Financées en moyenne à 87% par des fonds étrangers, les start-up suisses manquent d’investisseurs helvétiques pour se développer.
Sachant que ce manque d’investissements suisses empêche de nombreuses entreprises prometteuses d’éclore à l’international, comment expliquer cette frilosité helvétique? “Peut-être manque-t-on d’expérience dans des modèles économiques où l’on crée des sociétés actives dans l’innovation et qui ont pour vocation de grandir très vite”, a analysé Jurgi Camblong.
Source : RTS Info