Pour détourner 4,5 milliards de dollars – dépensés en jets privés, yachts, bijoux, soirées au casino, tableaux et appartements de luxe – les dirigeants du fonds malaisien 1MDB et leurs complices ne se sont pas rendus dans des paradis fiscaux de seconde catégorie. Ils ont opéré à Singapour, en Suisse, au Luxembourg et aux Etats-Unis. Des centres de premier ordre où les systèmes antiblanchiment devraient être irréprochables. C’est loin d’être le cas, comme le montre la dernière plainte civile américaine visant les acteurs du scandale.
Source : Le Temps