Que la cybersécurité – notamment la défense contre des cyberattaques menaçant des intérêts nationaux – soit une priorité pour l’État, c’est évident. Chacun avec sa doctrine, chaque pays cherche à se protéger, lui, ses entreprises et ses citoyens, contre trois types d’attaque :
- de l’espionnage cyber par vol de données et pénétration de mémoires
- du sabotage ou autre forme de paralysie des systèmes informationnels (un point auquel la France porte une attention particulière y voyant un danger pour sa souveraineté )
- et enfin une forme de “subversion” qui vise à décrédibiliser, humilier provoquer des pouvoirs et institutions et/ou à recruter des partisans pour des projets politiques généralement extrémistes.
Source : huyghe.fr