Il faut voir les cobots comme des partenaires qui influent sur nos rôles et nos identités, et non pas comme des machines, selon Sebastian Pfotenhauer. «La collaboration n’est pas à sens unique, explique-t-il. C’est une relation d’entraide.» Sebastian Pfotenhauer pense qu’il faudrait pour cela apprendre à bien gérer les cobots dans leur environnement de travail, voire, dans les cas les plus complexes, repenser totalement la dynamique sociale au travail et au quotidien.
Source : Largeur