Pékin voulait utiliser de la technologie suisse pour mieux surveiller sa population. L’accord pour acquérir un logiciel d’espionnage «Swiss made» était presque conclu, mais le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco) a empêché son exportation à la dernière minute. C’est ce qu’a rapporté dimanche «SonntagsBlick».
Source : 20 Minutes