Des espions particulièrement habiles se sont invités aux négociations sur le nucléaire iranien, qui se sont déroulées en Suisse et en Autriche depuis novembre 2013. L’information provient d’une société russe spécialisée dans la sécurité des systèmes d’information, Kaspersky Lab. Elle a paru assez sérieuse pour que le Conseil fédéral lâche le Ministère public sur l’affaire… qui touche certains des plus célèbres hôtels de l’Arc lémanique.