Un outil de cyberespionnage «quasiment invisible» a été récemment découvert par une entreprise de sécurité informatique parmi les plus réputées du monde. Ce «malware» a notamment servi à espionner des hôtels suisses où se sont tenues les négociations sur le nucléaire iranien. Par Sébastien Bischof et Grégory Ruch, experts en sécurité des systèmes d’information et de communication chez ELCA Informatique SA