L’administration fédérale a eu des contacts avec le fabricant italien de logiciels d’espionnage informatique Hacking Team, auprès duquel la police zurichoise s’était procuré un cheval de Troie.
La société Hacking Team a elle-même récemment fait l’objet d’une cyberattaque, qui a vu quantité de ses documents internes et courriels être rendus publics. Parmi ces informations, celle, relayée par la SonntagsZeitung, selon laquelle la firme était en étroit contact avec le Service de surveillance de la correspondance par poste et télécommunication.