La police fédérale disposera d’outils technologiques dernier cri pour surveiller les communications de suspects. Après le Conseil des Etats, le National a accepté d’investir 99 millions de francs.
Le Service de surveillance de la correspondance par poste et télécom pourra donc obtenir des instruments adaptés à l’évolution technologique.
Le projet est séparé en quatre étapes réparties jusqu’en 2021: ce n’est que lorsqu’une étape est réalisée que la suivante démarrera, a rappelé Simonetta Sommaruga.
Cette manière de procéder permet d’avoir un meilleur contrôle des coûts. Ceux-ci seront partagés entre cantons et Confédération, mais la clé de répartition n’a pas encore été définie, a précisé la conseillère fédérale.